Moyent-Orient: le désir de devenir une référence culturelle

Il y a deux cent ans, les musées européens enrichissaient ses collections avec des oeuvres venant de Moyent-Orient. Maintenant, en revanche, la situation est la contraire. L'art européen est en train de débarquer en les pays arabes de cette région. Plus de 300 oeuvres de collections français viennent d'être prêtés à Abu Dabhi et il va sans dire que plus échanges auront lieu.

La raison de cette nouveau phénomène est le désir de ces pays de devenir une référence culturelle mondiale. Comme il est déjà arrivé au sport et aux finances , faute de une tradition solide dans le domaine, ils offrent des projets spectaculaires et inversions lourdes a fin attirent les institutions européens les plus prestigieux dans le cadre artistique.  

Le district culturelle de Saadiyat (Abu Dabhi) est l'expression maximale de la tendance. Il s'agit à l'instar de l'île des musées à Berlin de un espace consacré à l'art  où l'art locale et internationale se donnent rendez-vous, avec grandes musées.  Les institutions du pays ont arrivé à des accords avec musées réputés afin de inaugurer de branches à Saadiyat et y accueillir part de ses plus connus oeuvres.  Le Musée Louvre Abu Dabhi, dessiné par Jean Nouvel, vise à ouvrir ses portes en 2015. La branche du Musée Gugggenhein Abu Dabhi le suivra en 2017.  



Il est clair que le profit exorbitant du pétrole et gaz font possible ce projet et d'autres si ambitieux. Pourtant,  signifie-t-il que ce pays réussiront à devenir un vrai référence culturelle? Il est très tôt encore, mais inversion n'est toujours synonyme de succès.  Le stratégie des pays de Moyent-Orient se dirige à un audience puissante qui a déjà  chez eux- en Europe et aux États-Unis- des spaces culturelles. Les succès de Abu Dabhi et ses voisins dépend d'offrir une alternative originale à ce que on peut trouver en Occident.



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